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le blog d'ANR – PCF

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19 mai 2008

"nouvelle force politique" et dilution du PCF: ça continue

Dans une note d'information, Nicolas Marchand fait le point sur des développements récents d' initiatives et propos de dirigeants du PCF visant la création d'une nouvelle force politique et la dilution du PCF. NM_nouvelle_force_mai2008

Cette note complète une "note d'information sur les prises de position et initiatives concernant une nouvelle force politique à gauche" de novembre 2007: nouvelle_force_politique_note_d_info

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14 mai 2008

Débat pour l'action sur la crise financière: rendez vous jeudi

La crise financière, sa portée,

et les propositions des communistes

JEUDI 15 MAI DE 14H à 18H, au siège national du PCF, 2 place du Colonel fabien, 75019 Paris

La rencontre à laquelle participera Marie-George Buffet, sera introduite par Paul Boccara et animée par de multiples intervenants. 

  • Quels sont les mécanismes de la crise financre? A-t-elle atteint son paroxisme ou vivons les prémices d'une crise beaucoup plus grave?

  • Quel impact sur la croissance et l’emploi, sur l’Europe, sur les pays émergents? 

  • Quels liens entre cette crise et les révoltes de la fim?

  • Quel le des banques et comment les responsabiliser? Suffit--il de réguler et de contler leurs excès?

  • le du crédit et de la monnaie? Les citoyens, leurs élus, les salariés peuvent-ils avoir une prise sur des choix monopolisés aujourd'hui par une élite financière? ...

Un débat pour mieux comprendre la crise, pour avancer des solutions concrètes et à l'appui des luttes avec les citoyens et leur élus, changer l'utilisation des fonds publics, réorienter le crédit et les relations entre banques et entreprises dans un but d'efficacité sociale.

13 mai 2008

une mauvaise polémique sur des propositions révolutionnaires

Dans un article de « La Riposte » (28 avril 2008) consacré à l'interview d'Yves Dimicoli sur les propositions communistes face à la crise financière (publiée par l'Humanité du 25 mars 2008), Greg Oxley résume à sa façon, pour en critiquer ce qu'il prétend être du réformisme, les propositions des économistes communistes. Selon lui, il s'agirait de  « subventionner les capitalistes » ...Rien que ça!!!!

Gisèle Cailloux lui a adressé une réponse argumentée mettant en évidence la portée révolutionnaire de propositions et de luttes disputant le pouvoir aux capitalistes sur l'utilisation de l'argent, du crédit, pour un autre rôle des banques et de la BCE.

René Fredon, militant communiste du Var, prend la défense des idées soutenues par Yves Dimicoli, et interpelle l'auteur de l'article:  "...à moins que vous ne pensiez qu’investir le terrain économique et financier ne soit pas très important et qu’il vaut mieux s’en tenir à des slogans super-révolutionnaires pourfendant le capital sans essayer d’avancer des mesures concrètes pour aujourd’hui qui précisément rognent sur son domaine réservé, ce qu’il ne tolère pas. Que ce soit plus difficile, c’est certain, surtout dans le cadre du rapport des forces et de la bataille idéologique actuels. Que vous en rajoutiez pour discréditer des propositions que je n’ai pas encore vues sous d’autres labels politiques et qui constitueraient de sacrées avancées pour les salariés et les chômeurs, voilà qui me laisse dubitatif."

Frédéric Boccara explique:  "Avoir un financement à taux bonifié des prêts, c'est à dire des prêts bancaires bonifiés sous condition de création/développement d'emplois, et de création de richesses (valeur ajoutée) utiles, c'est exactement l'inverse d'une subvention aux capitalistes : il y a deux façons de le dire :
- c'est les obliger à dépenser pour payer les salaires et  utiliser leur argent (profits et crédit) pour rembourser des investissements productifs et efficaces (au lieu d'investissements productifs contre l'emploi ou d'investissements financiers)
- au lieu de la politique actuelle de baisse de coût du travail (qui prétend justement aider les travailleurs, alors qu'elle fait l'inverse), ce serait une politique de baisse de coût du capital, donc l'inverse.
.."

28 avril 2008

au Conseil National du 25 avril 2008

L'intervention d'Yves Dimicoli (extraits):

"...Saisissons-nous de la situation pour organiser l’action en ne perdant pas de vue la crise systémique, au-delà de la crise financière, le besoin d’issue globale, du local au mondial en passant par les niveaux nationaux et européen, et donc la nécessité d’une cohérence de transformation révolutionnaire entre objectifs sociaux, moyens financiers et pouvoirs...c’est ce niveau d’ambition et de cohérence révolutionnaires qu’il faut tenir face à un double défi :

  • L’ accélération des réformes réactionnaires cohérentes de Sarkozy qu’il affirme « sans alternative possible » ;

  • Les « 21 principes du PS » enterrant toute référence à la lutte des classes et à la révolution, désormais assimilée à la violence, pour ne plus proposer, de façon contre-révolutionnaire en réalité, que de « réguler » le capitalisme, le « moraliser », le corriger à la marge, sans surtout toucher à sa logique, ses critères de gestion et son système de pouvoirs.

Face à ce double défi, il nous faut nous transformer nous-mêmes sans nous diluer dans une formation hétéroclite. Le travail nécessaire sur le projet ne saurait se conduire sans un effort effectif et tenace de novation du PCF et sans chercher à développer des luttes nouvelles avec des propositions radicales et opérationnelles articulant objectifs sociaux transformateurs, pouvoirs nouveaux des travailleurs et moyens financiers. L’appel pour une dilution-dissolution du PCF dans une autre formation que Jean-Claude Gayssot a rendu public dans « Le Monde » du 19 avril dernier mènerait les communistes et tous les progressistes de gauche dans une impasse noire."  Le texte complet: YD_interv_CN_250408

L'intervention de Nicolas Marchand (extraits):

"...Une campagne très active pour la dilution du Parti dans une « nouvelle force » a été relancée...Mais du côté du groupe dirigeant, on dit qu'il faut parler moins de la question de l'existence ou pas du parti...On aurait trop parlé du Parti? Je rappelle que le débat n'est pas parti des camarades attachés à la novation du PCF et opposés à sa dilution. Le projet de création d'une « nouvelle force », avec une révision « réaliste » du projet, a été relancé l'an dernier par le livre de P.Cohen-Seat publié à l'occasion de la fête de l'Huma, et par des déclarations de quelques uns des principaux dirigeants du Parti...Pourquoi maintenant chercher à enterrer ce débat après l'avoir lancé? Pourquoi après avoir encouragé à douter de tout et surtout du parti, après avoir dramatisé le débat de l'assemblée extraordinaire pour maintenir les hypothèses ouvertes, faire comme si la question était réglée alors qu'elle ne l'est pas?

Il y a besoin d'une décision claire au Congrès. C'est la décision la plus importante qu'il ait à prendre. Et donc il faut organiser le débat, et non pas le contourner par le biais de l'élaboration d'un projet « de gauche » pouvant parfaitement devenir le projet fondateur de la fameuse « nouvelle force politique », avec, comme étape préalable, une liste de type « arc-en-ciel » aux élections européennes..."                                     Le texte complet : NM_interv_cn_25_4_08

L'intervention de Jean-Marc Durand (extraits)

"La situation, et cela sans forcer le trait, est aujourd’hui particulièrement grave. Les signes de récession sont visibles, le capitalisme est de plus en plus arrogant, les difficultés quotidiennes touchent un nombre croissant de nos compatriotes dont certains souffrent de la faim.

Et j’ai une drôle d’impression, le sentiment que face à cette dégradation historique, nous sommes parfois tétanisés, comme paralysés par les enjeux alors qu’au contraire, il y a un besoin fort et urgent que le parti communiste se fasse entendre, qu’il occupe la place politique qui lui revient. Face à l’entreprise de régression généralisée pilotée pare Sarkozy et Fillon et réaffirmée hier soir par le Président en personne, le PCF doit plus que jamais être à l’initiative de mobilisations et d’actions rassembleuses.

Car le parti communiste est toujours un parti qui compte pour les gens, un parti dont notre peuple attend qu’il s’exprime, qu’il propose, qu’il agisse, qu’il donne le La de la rébellion. Cela, les électeurs l’ont rappelé en mars dernier. De ce point de vue, le petit jeu qui consiste à tordre nos résultats pour en inverser le sens et la signification frise l’insupportable.

Je disais au début de mon propos que la situation était grave. Je vais tenter de la caractériser par un exemple, celui de la RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques)..."  le texte complet: JMD_intervCN_250408

23 avril 2008

15 mai: une initiative utile, à réussir

Dans l'éditorial de "CommunisteS", Yves Dimicoli souligne l'importance de la rencontre du 15 mai et invite à travailler à sa réussite

La crise financière, sa portée

et

les propositions  des communistes

15 mai 2008

de 14h00 à 18h30 

(au siège du Conseil National du PCF, 2 place du Colonel Fabien 75019 Paris)

La rencontre, à laquelle participera Marie-George Buffet, sera introduite par Paul Boccara et animée par de multiples intervenants

Participez! Contribuez à sa préparation!

L'invitation à reproduire et diffuser: Invitation_15_5_08

L'éditorial d'Yves Dimicoli dans "Communistes" : YD_CommunisteS_23_4_08

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18 avril 2008

Italie: un appel pour la reconstruction d'un parti communiste

Des ouvriers, des intellectuels, des acteurs du mouvement social italien adressent un appel "aux militants et aux dirigeants du PDCI et du PRC, et à tous les communistes, partout en Italie"...

...Le temps des choix est arrivé: voici le nôtre. Nous ne partageons pas l'idée d'un sujet unique de la gauche dont quelques-uns demandent obstinément une "accélération" malgré la faillite politico-électorale. Nous proposons par contre une perspective d'unité et autonomie des forces communistes en Italie ...

...Notre engagement n'est pas un engagement qui contredit l'exigence juste et sincère d'une plus large unité d'action de toutes les forces de la gauche qui ne renoncent pas au changement. Ni qui exclue la recherche de convergences utiles pour endiguer l'avance des forces les plus ouvertement réactionnaires.

Mais un tel effort unitaire à gauche aura d'autant plus de succès , que plus incisif sera le processus de reconstruction d'un parti communiste fort et unitaire, à la hauteur de l'époque. Que – d'autant plus aujourd'hui – il saura vivre et s'enraciner dans la société plus encore que dans les institutions, parce que seul l'enracinement social peut garantir la solidité et des perspectives de croissance, et poser les bases d'un parti qui aie son organisation autonome, et son rôle politique autonome avec une influence de masse, malgré l'exclusion actuelle du Parlement...

Le texte de l'appel et les premiers signataires: appel_18_4_08

17 avril 2008

Italie: éléments d'un débat qui nous concerne

Des dirigeants communistes, au sein de Refondation et au PDCI (issu d'une scission de Refondation), s'expriment sur les causes de la catastrophe électorale, sur les responsabilités et sur l'avenir. Reconstruire un parti communiste en Italie? Formulée par plusieurs, l'idée parait lancée.

"Le projet de la Gauche Arc-en-ciel est fini. Penser le résusciter comme voudraient le faire Bertinotti et Giordano, n'a aucun sens. L'alternative à la désagrégation définitive est la relance de Refondation communiste et la reconstruction d'un parti communiste" (Fosco Giannini et Gianluigi Pegolo -PRC- L'Ernesto)

"Ce n'est pas "la gauche" qui manque au Parlement, ce sont les communistes. Cette donnée de fait doit pousser les communistes à donner vie rapidement à un processus de reconstruction d'un nouveau parti communiste en Italie" (Nino Frosini, secrétaire régional du PDCI de Toscane)

Lire plusieurs déclarations et dépêches: l_ernesto15_16_4_08

Dans un texte daté du 4 avril Fosco Giannini, un des animateurs de l'Ernesto au sein du PRC, formulait une analyse qui n'a pas perdu de son intérêt après les élections...

"Nous avons assisté à l'échec total du gouvernement Prodi et à l'échec, tout aussi total, nous l'affirmons en tant que dirigeants du PRC, de l'expérience du Parti de la Refondation Communiste au sein d'un tel gouvernement... Le groupe dirigeant du PRC a pour l'essentiel répondu de trois façons: d'abord, en évacuant les bases matérielles de la défaite ; deuxièmement, en accélérant le processus d'effacement de la nature communiste de notre Parti ; troisièmement, en serrant la vis à l'intérieur, de manière antidémocratique... ..."

Dans la phase actuelle, comment une force de classe, anticapitaliste, communiste devrait-elle se placer face aux contradictions que suscite la compétition globale et face à l’attaque du capital ? Il n'y a pas de doute: elle devrait renoncer aux illusions institutionnalistes – non pas par extrémisme, mais en vertu d’une analyse précise de la situation concrète – et se mettre à la tête d’un nouveau, et probablement long, cycle de lutte sociales, avec l’objectif primordial de changer les rapports de force dans la société et de couper les griffes aux patrons. Surtout, cela signifie se consacrer à la constitution et à la consolidation du Parti communiste, cœur battant et unitaire d’un rassemblement plus large de lutte antilibérale, anticapitaliste, anti-impérialiste.

A la place de cela, qu’a choisi le groupe dirigeant du PRC après l’échec du gouvernement Prodi, après son propre échec ? Il a choisi d’accélérer le processus de dépassement de l’autonomie communiste et anticapitaliste pour se lancer dans la construction d’un nouveau et fumeux « sujet de gauche..."

le texte de Fosco Giannini: giannini_4_4_08

15 avril 2008

Italie: la dilution mène au désastre

Italie: pour la première fois de l'après-guerre, les communistes ne sont pas représentés au Parlement italien.

Des responsables communistes italiens, Leonardo Masella et Gian Luigi Pegolo (dirigeants de l'Ernesto, tendance communiste au sein du PRC) commentent le résultat désastreux du "nouveau sujet politique" fusionnant communistes-socialistes et verts, résultat dans lequel ils voient "l'effet de la déception profonde dans le peuple de gauche pour la participation désastreuse au gouvernement qui s'est accompagnée du travail systématique de liquidation du PRC et du communisme promu par la majorité du groupe dirigeant de Refondation Communiste". Ils se prononcent "pour prendre acte que l'arc-en-ciel est définitivement fini" et  "pour la reconstruction d'une force communiste de masse en Italie": declarations_masella_pegolo_15_4_08

11 avril 2008

Italie, Allemagne: des infos utiles pour nos débats sur l'avenir du PCF

Les résultats du PCF aux élections municipales et cantonales sont encourageants et stimulants pour les communistes; ils ont fait perdre beaucoup de leur pertinence aux hypothèses de dilution du PCF dans une autre organisation.

Néanmoins ces hypothèses ne sont nullement abandonnées. Dans ce cadre, il est souvent fait référence à  quelques autres partis européens.

Concernant l'Italie et Refondation Communiste, la situation, en pleine évolution, est à suivre de près: à partir d'une coalition électorale est entamé un processus de fusion pour la création d'un parti dit "arc-en-ciel" qui réunirait des communistes, des socialistes et des verts; "le communisme" n'y restera que "comme une tendance culturelle" a déclaré Bertinotti (après avoir longtemps contesté se situer dans une perspective de dilution). Pas sur cependant que le dernier mot soit dit et que les communistes acceptent ce qui serait, selon des communistes italiens, "un 2ème Congrès de dissolution du PCI"... (voir l'Humanité du 11 avril)

Le cas allemand du Linke Parteï, pourtant très spécifique à la situation allemande, est fréquemment cité en exemple, comme référence en faveur de la création d'une nouvelle force à gauche.(voir pour la période récente les propos d'Olivier Dartigolles et de Jean-Luc Mélenchon rapportés par "Le Monde" du 28 février: Lemonde_28_2_08_Linke).

Voici un élément versé au dossier du débat: une interview donnée par un des dirigeants du Linke issu du PDS, Gregor Gysi: intervGysi_19_3_08 Il se prononce en faveur d'une "gauche moderne" et repond "NON" à la question "Vous déterminez-vous encore comme communiste aujourd'hui?"

(rappel: le dossier consacré dans l'huma le 15 juin 2007 à la création de Die Linke...extraits: huma_cr_ation_de_Die_Linke_15_6_07 )

11 avril 2008

Chine - Tibet: pour un PCF offensif

La position formulée par Marie-George Buffet dans la bataille en cours au sujet de la Chine, du Tibet et des JO de Pékin suscite réactions critiques et débats. Quelques éléments du dossier.

La position du PCF, résumée dans le relevé de décision du CEN du 7 avril:

« L’accent a été mis sur la nécessité d’inscrire notre activité politique dans l’actualité en se mêlant avec esprit offensif des débats en cours. Il en est ainsi de celui concernant la Chine, le Tibet et les JO. Pour faire entendre la position que le PCF développe depuis le début. À savoir, la nécessité de la reprise du dialogue avec le Tibet, la condamnation de la violence et l’attachement aux droits de l’homme et aux libertés. À savoir aussi, la dénonciation de l’hypo­crisie du gouvernement français et des dirigeants européens sur ce sujet voulant faire porter aux sportifs une responsabilité politique à l’égard de la Chine qu’ils refusent d’assumer. À savoir enfin, notre choix de défendre l’olympisme et les valeurs qu’il véhicule, notre solidarité avec les athlètes et notre détermination à agir pour que l’Union européenne comme le président de la République choisissent les droits humains et non la loi de l’argent dans leur rapport avec la Chine.»

Pour Nicolas Marchand, une position insatisfaisante, prise sans débat: 

« Se mêler en étant offensifs des débats en cours » ... on ne peut le faire en étant suiviste de ce qui domine, sans esprit critique vis à vis d'éventuelles manipulations, sans autonomie politique et idéologique effective. Il serait de la responsabilité du PCF de contribuer à mettre en discussion tous les éléments d'information et d'analyse sur la Chine et le Tibet.

Pour être effectivement offensifs et audibles dans une telle bataille, y compris pour la formulation d'exigences légitimes sur la démocratie en Chine, il faudrait aussi se dégager de l'autoculpabilité qui nous paralyse, du syndrome des « valises de plomb du communisme...»  Le texte complet: nm_chine_tibet_surlapositionduPCF_10_4_08

Eléments du débat en cours

A lire sur le site de l'Humanité:

un point de vue d'André Meyer: http://www.humanite.fr/Vive-l-olympisme

un point de vue de Jean-Luc Mélenchon: http://www.humanite.fr/Tibet_Chine-Jean-Luc-Melenchon

l'interview par Dominique Bari  d'Elisabeth Maertens, spécialiste de l'histoire du Tibet (publiée dans l'Huma du 8 avril 2008: http://www.humanite.fr/L-exasperation-sociale-est-le-ressort-du-mouvement-au-Tibet

(à signaler une autre interview du même auteur dans la presse suisse: Tibet_EMaertens_courrierGeneve_27_4_08 )

A lire sur le site du CIDEFE, un point de vue de Jean-Claude Mairal: http://www.elunet.org/spip.php?article2652

Ce site présente aussi des extraits d'un article du pacifiste israélien Uri Avneri, dont voici le texte complet: Chine_Tibet_JO_UAvneri_5_8_08

Et un texte ... du dalaï-lama: http://www.elunet.org/spip.php?article2663

Sur le site du PCF: la conférence de presse de Marie-George Buffet: http://www.pcf.fr/spip.php?article2668

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